Marie France
Pédagogue 100% eurasienne
Ma mère me disait que j’étais beaucoup plus vietnamienne qu’elle dans l’amour que j’ai pour le Vietnam et pour mes racines
Dans les archives de Marie France
Toutes les conversations
« Quand je vais au Vietnam, je cherche à retrouver cette enfance et cette adolescence qu’on m’a volées »
« Pas besoin d’être né au Vietnam ou d’avoir une filiation quand on rencontre quelqu’un qui aime le Vietnam. Le lien se crée »
« Ma grand-mère a été le lien pour que je retourne à mes origines vietnamiennes »
« J’ai appris à aimer ma double culture, qui est une merveilleuse opportunité »
« Le déficit d’images familiales m’a fait devenir photographe »
« Quand j’étais petit, mes parents me disait de rentrer dans le rang et d’être discret »
« Le fait que je sois Viet et que je m’appelle Kyriacopoulos, je trouve ça intéressant »
« Quand je suis au Vietnam, je retrouve des choses qui me semblent toujours avoir été là chez moi »
« C’est la communion de langages qui fait qu’on a envie de se poser à un moment donné »
« La tragédie des métisses de n’être jamais nulle part chez eux »