Amélie
Psychologue/pianiste
La tragédie des métisses de n’être jamais nulle part chez eux
Dans les archives de Amélie
Toutes les conversations
« Quand je vais au Vietnam, je cherche à retrouver cette enfance et cette adolescence qu’on m’a volées »
« Pas besoin d’être né au Vietnam ou d’avoir une filiation quand on rencontre quelqu’un qui aime le Vietnam. Le lien se crée »
« Ma grand-mère a été le lien pour que je retourne à mes origines vietnamiennes »
« Ma mère me disait que j’étais beaucoup plus vietnamienne qu’elle dans l’amour que j’ai pour le Vietnam et pour mes racines »
« J’ai appris à aimer ma double culture, qui est une merveilleuse opportunité »
« Le déficit d’images familiales m’a fait devenir photographe »
« Quand j’étais petit, mes parents me disait de rentrer dans le rang et d’être discret »
« Le fait que je sois Viet et que je m’appelle Kyriacopoulos, je trouve ça intéressant »
« Quand je suis au Vietnam, je retrouve des choses qui me semblent toujours avoir été là chez moi »
« C’est la communion de langages qui fait qu’on a envie de se poser à un moment donné »